Faire revivre le bois mort
Des randonnées pédestres hors des sentiers communs qui sont devenues prétexte à rapporter des pièces de bois très particulières, notamment celles qui résistent au temps. Le genévrier, par son imputrescibilité est une essence de choix: que ce soit le "commun", le cade" à l'odeur poivrée ou le "Phénicie" tortueux dans les falaises calcaires.
Il y a aussi, dans les garrigues anciennement incendiées, les racines ou loupes de cade à peine visibles qu'il faut déterrer ou plus facilement ce qui reste du défrichage forestier.
Du bois mort ou coupé qui traine à terre, des arbres couchés sur le flanc depuis des décennies....dont l'éclat revient au grattage et à la sculpture.
De la matière première qui ne manque pas !