Collectionneuse d’images, j’utilise leur superficialité en écho à mes interrogations sur l’équilibre je/jeu. Notre société hyper-connectée engendre des êtres à identités multiples, «mis devant la nécessité d’habiter, en même temps, plusieurs corps et plusieurs univers».
A travers l’accumulation, le jeu des associations et la superposition de couches se mêlant les unes aux autres, les images prennent une dimensions archéologique et deviennent matière et corps.