Pour mieux représenter le scintillement de la lumière, je suis venu à trouver et définir un autre geste : la « pluie de peinture.»

Les myriades de gouttes retranscrivent l’unité dans la multitude et la forme dans la non-forme, l’immensité de la profondeur du « bruissement de la lumière dans la couleur ».

Je ne valide mes tableaux que quand les lectures deviennent infinies, que mon oeil est subjugué par la myriade d’informations où il peut toujours trouver autre chose à découvrir.